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Cette époque constitue une charnière pour ces communautés : c'est au XIIe siècle, en effet, que, fuyant les persécutions des Almoravides et des Almohades dynasties intégristes et intransigeantes venues du Maroc [2] , les Juifs émigrent vers les royaumes chrétiens. Bon nombre d'entre eux mettent alors leur expérience au service des souverains, dans les finances et l'administration des territoires reconquis. Ils y retrouvent un statut légal analogue à celui qu'ils avaient connu au Xe siècle, au temps du califat de Cordoue : en échange de taxes fiscales souvent fort lourdes, ils disposent d'une autonomie administrative, religieuse et même juridique, sous la direction de leurs rabbins. Cette prospérité prend fin avec la récession et les catastrophes qui suivent la Peste Noire, apparue en Espagne en Les masses chrétiennes, fanatisées par des prédicateurs, rendent les Juifs responsables de tous leurs malheurs. L'antisémitisme populaire culmine lors des massacres de ; il ne cessera plus d'exercer ses ravages, et les communautés juives, appauvries par de nombreuses conversions plus ou moins sincères, déclinent fortement au XVe siècle. Comme les Juifs, mozarabes et mudéjares constituent des minorités religieuses originales. On appelle mozarabes les chrétiens qui vivent en territoire musulman et mudéjares les sujets musulmans d'un souverain chrétien. Mozarabes et mudéjares sont protégés par des statuts juridiques comparables. Les uns et les autres sont tenus de respecter l'autorité politique en place et de lui verser des tributs spéciaux, souvent fort élevés ; en contrepartie, ils peuvent pratiquer librement leur religion et s'administrer eux-mêmes. Ces communautés disposent d'églises et de monastères.Elles conservent leur liturgie : le rite mozarabe, qui procède du rite gothique institué par saint Isidore de Séville Le latin reste leur langue liturgique, mais ils adoptent l'arabe comme langue de culture et de communication. Les mozarabes prennent des noms arabes, adoptent les vêtements et le mode de vie des musulmans. Au Xe siècle, par exemple, ils ne mangeaient plus de viande de porc et évitaient d'accumuler dans leurs éalises des images peintures, sculptures de Dieu, de la Vierge et des saints. La reconquête de Tolède par Alphonse VI crée une situation nouvelle. Des milliers de mozarabes sont alors réintégrés dans la chrétienté, non plus de leur plein gré, mais à la suite d'une victoire militaire. Or les mozarabes de Tolède ne semblent pas avoir eu à se plaindre des autorités musulmanes. Ils se mêlaient aux Maures au lieu de vivre confinés dans des quartiers réservés comme les Juifs. Beaucoup étaient indifférents au régime politique ; certains quittent même la ville après la Reconquête et suivent les musulmans dans leur fuite. Le climat se détériore rapidement, sous l'influence du nouvel archevêque dom Bernard- un moine de Cluny -, de la reine Constance, fille du duc de Bourgogne- une Française - et des Français qui ont pris part à la Reconquête. Les mozarabes restent, dans Tolède reconquise, une minorité culturelle. Toutefois, des conflits les opposent aux Castillans et aux Français à propos des terres abandonnées par les musulmans. Pendant un siècle, ils se heurtent aux nouvelles autorités ecclésiastiques. Ils ne comprennent pas, par exemple, pourquoi ils doivent renoncer à leur rite au profit du rite romain.

Chrétiens, Juifs et Musulmans en Espagne : le mythe de la tolérance religieuse (VIIIe-XVe siècle)

Ils continuent à utiliser l'arabe, au moins jusqu'à la fin du XIIe siècle ; le castillan ne l'emporte définitivement qu'au XIVe siècle. On peut toutefois établir qu'à partir du XIIe siècle, le phénomène mozarabe a disparu avec les circonstances qui l'avaient fait naître. Parallèlement, à la même époque, les mudéjares commencent à se multiplier dans les royaumes chrétiens qui se reconstituent. Seules subsistaient quelques communautés cantonnées dans les faubourgs. La situation change avec la prise de Tolède et celle de Saragosse Cette fois, la Reconquête fait passer sous domination chrétienne des masses humaines qui n'ont pas eu le temps de fuir. Dans la zone du Tage, dans la vallée de l'Èbre et à Valence, des musulmans se retrouvent, en grand nombre, sous l'autorité de souverains chrétiens qui promettent de respecter leur langue, leur culte, leur droit et leurs coutumes. En échange, on leur impose un régime seigneurial lourd en contributions fiscales et en prestations de travail. Ils sont désormais sujets musulmans d'un État chrétien. C'est ce qu'exprime le mot mudéjar avec sa double signification : quelqu'un qui reste en arrière et qui paie tribut à un infidèle. Juifs, mozarabes et mudéjares ont donc bénéficié, les uns en territoire musulman, les autres dans les royaumes chrétiens, d'un statut comparable qui leur garantissait le libre exercice de leur culte respectif en échange de la subordination politique et de contributions fiscales.

Mais, alors que les mozarabes ont constitué pendant des siècles des communautés stables, bien regroupées et solidement organisées autour de leurs chefs administratifs et religieux, les mudéjares ont connu une existence beaucoup plus précaire. La plupart du temps, ils ont fini par émigrer dans al-Andalus. Ne sont restés que des noyaux d'artisans, de petits commerçants et de muletiers. Les seules communautés importantes de mudéjares sont celles qui ont été coupées d' al-Andalus par l'avance de la Reconquête : celles de la vallée de l'Èbre et de Valence. Il faut y ajouter, après , une très forte concentration de mudéjares dans la ville de Grenade et dans le massif montagneux des Alpujarras. On a là trois zones principales qui dessineront, au cours du XVIe siècle, la géographie de l'Espagne morisque [3]. En permettant à des minorités religieuses de vivre, de travailler et de pratiquer librement leur culte, al-Andalus et l'Espagne chrétienne ont-ils fait preuve de tolérance? Ce n'est pas évident. Dans la Péninsule ibérique, en effet, entre le VIIIe et le XVe siècle, chrétiens et musulmans sont également convaincus qu'ils détiennent la vérité et que leur foi est incompatible avec celle des autres. S'ils se montrent tolérants, c'est parce qu'ils ne peuvent pas faire autrement. Tolérer, en effet, c'est supporter ce qu'on n'a pas les moyens d'interdire. Comment les conquérants musulmans n'auraient-ils pas toléré ces masses de chrétiens qu'ils ne pouvaient ni convertir ni exterminer? Dans les royaumes chrétiens, c'est seulement à partir du XIIe siècle que le problème mudéjar se pose en termes politiques. Il est assez vite réglé dans les domaines castillans. Les moines de Cluny, très influents, se montrent intransigeants. L'un d'entre eux, dom Bernard, abbé de Sahagun et nouvel évêque de Tolède, transforme la grande mosquée en église, violant ainsi les promesses d'Alphonse VI. Ainsi, quand Alphonse VII le Batailleur reprend Saragosse en , il entre dans une ville que les élites musulmanes, les artisans et les commerçants ont évacuée. Beaucoup de paysans veulent fuir eux aussi, mais le souverain s'efforce de les en empêcher. La même situation se reproduit un siècle plus tard à Valence, où on attendait cent mille colons chrétiens : il en est venu à peine trente mille ; encore refusent-ils de s'installer dans les campagnes.

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Pour mettre le pays en valeur, il a bien fallu retenir les mudéjares. A Murcie aussi, la crise démographique rend difficile la colonisation par des chrétiens. Pour exploiter la huerta la riche zone irriguée des alentours de Valence , on est bien heureux de pouvoir compter sur les mudéjares. C'est la force des choses plus que l'esprit de tolérance qui a rendu possible la présence de communautés chrétiennes en terre d'Islam et de minorités de mudéjares dans les royaumes chrétiens, sans parler des Juifs que l'on trouve partout. A défaut d'assimiler les minorités, on les exploite. C'est si vrai que, après la fin de la Reconquête, en , la tolérance n'a plus de raison d'être : on expulse les Juifs ; on prétend assimiler les mudéjares de Grenade, puis - sous Charles Quint - ceux de Valence, en les convertissant de force. Ainsi se trouve posé le problème morisque du XVIe siècle, obsession politique pour les autorités civiles et religieuses, drame humain pour les intéressés. Cette tolérance de fait est-elle, en outre, unanimement acceptée? Il faut distinguer l'attitude des élites et celle des masses. A la fin du XVe siècle, il y aura conjonction entre l'État et le peuple ; la volonté politique des Rois Catholiques rencontre l'assentiment des masses. Les chrétiens arabises que sont les mozarabes et les musulmans convertis que sont les morisques ont-ils enfin contribué à former en Espagne une civilisation originale? On connaît la thèse d'Américo Castro, publiée en cf. A l'opposé de la thèse défendue par Américo Castro, on trouve les interprétations traditionnelles selon lesquelles la conquête de n'aurait pas entraîné de rupture dans le développement historique de l'Espagne - les envahisseurs, une poignée de Bédouins et quelques milliers de Berbères à peine islamisés et pas encore arabisés, s'étant rapidement his-panisés.

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Ainsi se serait constituée une société plus hispanique qu'orientale. En somme, il y aurait bien eu des influences islamiques dans l'Espagne chrétienne, mais elles n'auraient certainement pas altéré les structures de base, économiques, sociales ou culturelles. Ces vues sous-estiment toutefois l'influence des structures sociales, à la base desquelles il y a le clan et la tribu. Les Hispano-Musulmans, dans leur ensemble, devaient se sentir plus proches de leurs coreligionnaires orientaux que des Espagnols chrétiens : la religion est un fait de civilisation essentiel. Même si les éléments arabes proprement dits étaient minoritaires, ils ont imposé une religion, une organisation politique, des coutumes et surtout une langue, puissant facteur d'assimilation culturelle. L'arabe a gagné très vite du terrain. Au milieu du IXe siècle, des mozarabes se lamentaient encore sur l'abandon du latin ; un siècle et demi plus tard, l'arabe était devenu la langue majoritaire. Américo Castro en tire argument pour rejeter la thèse de l'hispanisation des conquérants africains. Il a raison. La langue parlée et écrite n'est pas neutre ; elle exprime une mentalité, des façons de penser et de sentir, un état de civilisation. En adoptant l'arabe, la majorité de la Péninsule s'est intégrée au monde musulman, même si elle a conservé une spécificité réelle. Jusqu au XIIe siècle, les deux civilisations qui se partagent la Péninsule ibérique se combattent et s'ignorent. Les musulmans n'ont que mépris pour les pauvres chrétiens du Nord. De leur côté, les chrétiens ne voient dans leur puissant voisin que des infidèles et attendent beaucoup de la Chrétienté : une aide militaire, d'abord, et aussi un soutien culturel ; c'est l'époque où se développent le culte de saint Jacques que l'on considère, parmi les douze apôtres, comme celui de l'Espagne et les pèlerinages à Compostelle, où l'on fait appel aux moines de Cîteaux et de Cluny. Les mozarabes qui s'installent en territoire chrétien au cours de cette période y apportent-ils des influences musulmanes? Profondément arabisés au point qu'ils comprenaient mieux l'arabe que le latin, ils sont en même temps très attachés à ce qui représente pour eux la tradition.

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Une stèle funéraire d'Alcoy porte la Actes des rencontres de Gérone ( novembre ) et de Rome ( mai ), éds. la nature perchée et fortifiée des sites ruraux: Ph. Sénac, «Stratigraphie du peuplement musulman au nord de l'Èbre (VIIIe-XIe siècle), De la ; P. Guichard, Musulmans de Valence, pp​.

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Le royaume chrétien de Valence et ses vassaux musulmans () - Persée

Valence est une commune du sud-est de la France, préfecture du département de la Drôme en Catholicisme; Protestantisme; Judaïsme; Islam En effet, dès , le toponyme «Pont Péri» est porté par un secteur du Le site même de Valence présente encore aujourd'hui un dense réseau de.

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